Livestock Research for Rural Development 32 (8) 2020 | LRRD Search | LRRD Misssion | Guide for preparation of papers | LRRD Newsletter | Citation of this paper |
La race Taadmit est considérée comme secondaire en Algérie ; son effectif est en régression mais elle est appréciée pour ses capacités lainières. Les performances de reproduction de cette race restent plus faibles que celles des autres races ovines en Algérie avec une reprise saisonnière tardive de l’activité sexuelle liée à un anœstrus prolongé. Notre étude a été menée sur le seul troupeau homogène du pays, celui de la station expérimentale de l’Institut National de Recherche Agronomique – INRAA- de H’Madna (wilaya de Relizane, nord-ouest de l’Algérie). Notre objectif était d’évaluer les performances du troupeau expérimental soumis à 3 modes de reproduction, par l’analyse de la mise à la lutte et des résultats à l’agnelage durant trois campagnes (2015 à 2018) : lutte libre en saison (témoin, LL), effet bélier (EB), puis maitrise de l’œstrus par induction hormonale des chaleurs (IH) en saison et en période de faible cyclicité ou contre saison. Les 2 méthodes ont donné des résultats satisfaisants. Le nombre d’agneaux sevrés à 90 jours ramené à 100 brebis a été meilleur en saison (LL 83, EB 108, IH 136) et acceptable en contre-saison, surtout par IH (EB 73, IH 108).
Mots clés : Algérie, fertilité, lutte, productivité numérique, prolificité, race locale
The Taadmit breed is considered as secondary in Algeria. This sheep population is constantly shrinking; its number has been limited in recent years.
Its woolly performances were the main assets of this breed, however its poor reproductive performance compared to the Ouled Djellal breed. A delayed seasonal resumption of sexual activity and an extended sexual resting season are certainly the main reasons for the renunciation of breeders. Our study was conducted on the herd of the experimental station of the National Institute of Agronomic Research (INRAA) of H'Madna (administrative district of Relizane in north-west of Algeria). This is currently the only homogeneous herd available at the national level. Our objective was to evaluate the performance of the experimental herd bred with three modes of reproduction by analyzing the mating conduct of ewes and the results of lambing during three campaigns (2015 to 2018): natural mating in season (control, NM), ram effect (RE), then estrus control by hormonal heat induction (HI) in season and during the low cyclicity period (out of season). Both methods has given satisfactory results. The number of weaned lambs at 90 days for 100 ewes was better during season (NM 83, RE 108, HI 136) and acceptable out of season, mainly with HI (RE 73, HI 108).
Keywords: Algeria, breeding period, fertility, lamb, local breed, mating, prolificacy, sheep
En Algérie la race ovine Taadmit considérée comme secondaire est actuellement en voie d’extinction et a pratiquement disparu de son berceau d’origine (environs de Taadmit, wilaya de Djelfa). Ces dernières années, l’effectif total s’est limité à quelques milliers de têtes (Fantazi et al 2015, Djaout et al 2017). Cet effectif est en constante régression. Cette race est le fruit de croisements réalisés durant l’époque coloniale, entre la race Ouled Djellal (population ovine Algérienne dominante) et la race Mérinos d’Arles (Trouette1933, Djaout et al 2017). Ses performances en production de laine sont les principaux atouts de cette race, surtout dans la perspective de créer un environnement lainier au profit du grand complexe textile implanté dans la wilaya de Relizane (notre zone d’étude). Ses performances reproductives et productives restent néanmoins faibles face à la race Ouled Djellal. Une reprise saisonnière tardive de l’activité sexuelle en été (Benyounes et al 2013) et un anœstrus prolongé sont la cause du désintéressement des éleveurs.
Notre étude a été menée sur le troupeau de la station expérimentale de l’Institut National de Recherche Agronomique – INRAA- de H’Madna (wilaya de Relizane au nord-ouest de l’Algérie), seul troupeau disponible à l’heure actuelle à l’échelle nationale présentant une homogénéité raciale stable (Fantazi et al 2015). Notre principal objectif était d’évaluer les performances de reproduction de cette race, ainsi que la mise en place d’un protocole de maitrise de la reproduction pour une induction des chaleurs en saison sexuelle (SS, de septembre à décembre) et d’autre part en période de faible cyclicité ou contre-saison (CS, d’avril à juin).
L’étude a été réalisée au niveau de la station expérimentale de l’Institut National de Recherche INRAA de H’Madna, Nord-Ouest de l’Algérie - 35˚ 54΄ latitude Nord et 0˚ 47΄ longitude Est – altitude 48m. Elle a été menée durant trois campagnes successives : 2015-2016, 2016-2017 et2017-2018.
La présente étude a concerné un troupeau expérimental de 65 brebis de race Taadmit, avec un âge et un état corporel homogènes et un rang d’agnelage de 2 à 4. Le mode de conduite de l’élevage est en semi-intensif avec pâturage durant toute la journée et un complément alimentaire à base d'orge en bergerie durant la période de lutte, soit 200 à 300 g par brebis et 400 à 800 g par bélier.
l’ensemble du troupeau, considéré en un seul lot (lot 1), a été conduit en lutte libre avec séparation des béliers. La mise à la reproduction s’est étendue de juin à septembre 2015. La période d’été correspond à la saison de redémarrage de l’activité sexuelle (SS) chez la race Taadmit (Benyounes 2007, Benyounes et Lamrani 2013).
Le troupeau a été divisé en deux lots (2 et 3), avec induction des chaleurs par effet bélier (Tableau 1), par séparation totale des lots puis mise en présence de mâles non vasectomisés avec une simple séparation grillagée (Tournadre et al 2009, Khiati 2013, Castonguay 2018).
Le lot 2 était constitué de 35 brebis ayant toutes agnelé avant le mois de mai 2016 pour une mise en reproduction entre les mois de septembre et décembre (SS) de la même année.
Le lot 3 était constitué de 30 brebis mises en reproduction durant la période d’avril à juin 2017 (CS).
Le troupeau a aussi été divisé en deux lots (4 et 5) conduits en traitement hormonal pour une induction des chaleurs (Tableau 1).
Le lot 4 était constitué de 39 brebis, mises en reproduction durant la période de septembre à décembre 2017 (SS).
Le lot 5 était constitué de 26 brebis, menées en reproduction durant la période d’avril à juin 2018 (CS).
L’induction hormonale des chaleurs (IH) a été effectuée par pose d’éponges vaginales imprégnées de MGA 40 mg (acétate de mégestérol) pendant 14 jours puis injection de PMSG (eCG) 400 UI (Belahrache et Boulanouar 1991).
La mise à la reproduction a été assurée par simple lâchage d’un seul bélier par lot de brebis traitées.
Tableau 1. Protocole expérimental |
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Lots |
Nombre de |
Mode d’induction |
Période de lutte |
Première année de suivi (un seul lot) | |||
Lot 1 |
65 |
Néant (lutte libre) |
Juin à septembre 2015 (SS) |
Deuxième année de suivi |
|||
Lot 2 |
35 |
Effet bélier |
Septembre à décembre 2016 (SS) |
Lot 3 |
30 |
Effet bélier |
Avril à juin 2017 (CS) |
Troisième annéede suivi |
|||
Lot 4 |
39 |
Induction hormonale |
Septembre à décembre 2017 (SS) |
Lot 5 |
26 |
Induction hormonale |
Avril à juin 2018 (CS) |
SS = saison sexuelle ; CS = contre-saison |
Les performances de reproduction déterminées ont été la fertilité (nombre de brebis mettant bas / nombre de brebis en reproduction), la prolificité (nombre d’agneaux nés / nombre de brebis mettant bas) et la productivité numérique (nombre d’agneaux sevrés à 3 mois / nombre de brebis en reproduction) (Colas et al 1973, Cognié 1988).
L’analyse a concerné les données de performances des 65 brebis de l’échantillon, collectées durant les trois années de suivis ; ainsi 164 agnelages ont été enregistrés. L’analyse statistique a été réalisée à l’aide du logiciel SPSS 20. Les statistiques descriptives pour les variables étudiées ont été calculées. La détermination des effets du mode de conduite de la reproduction sur les résultats à l’agnelage et les performances de reproduction a été réalisée par une analyse de la variance. Les variables ont inclus les taux de fertilité, de prolificité et de productivité numérique, ainsi que les variations de la taille et des poids de la portée à la naissance et à 90 jours.
Le rendement reproductif du troupeau durant la première année laisse apparaitre une mise à la lutte à partir du début du mois de juin. Cette période s’étend entre le printemps à cyclicité faible des animaux et l’été saison de redémarrage de l’activité sexuelle de ces derniers.
Tableau 2. Rendement reproductif du troupeau |
|||||
lot 1 |
lot 2 |
lot 3 |
lot 4 |
lot 5 |
|
SS |
SS |
CS |
SS |
CS |
|
Brebis mises en reproduction (BR) |
65 |
35 |
30 |
39 |
26 |
Brebis gestantes |
59 |
33 |
23 |
39 |
22 |
Id (% des BR) |
90,8 |
94,3 |
76,7 |
100 |
84,6 |
Brebis mettant bas |
57 |
32 |
21 |
35 |
19 |
Id (% des BR) |
87,6 |
91,4 |
70,0 |
89,7 |
73,1 |
Période d’agnelage en jours |
125 |
55 |
68 |
43 |
62 |
Nombre d'avortements |
2 |
1 |
2 |
4 |
3 |
Nombre d'agneaux nés |
59 |
41 |
23 |
63 |
29 |
Id par mises bas |
1,04 |
1,28 |
1,10 |
1,80 |
1,53 |
Taux de mortalité à 90 jours |
8,5 % |
7% |
4 % |
1,5 % |
3,5 % |
Agneaux à 90 jours |
54 |
38 |
22 |
53 |
28 |
Id par 100 brebis mises en reproduction |
83a |
108b |
73a |
136c |
108b |
SS = saison sexuelle ; CS = contre-saison. Lot 1 lutte libre, lots 2 et 3 effet bélier, lot 4 induction hormonale des chaleurs. Les lettres différentes sur une même ligne (a, b et c) indiquent une différence significative à p <0,05 |
Les traitements entrepris sur le même troupeau durant les deux années suivantes ont permis une amélioration du rendement reproductif, un regroupement des agnelages sur une période de moins de 2 mois et surtout la mise en reproduction des brebis durant la période de faible cyclicité entre avril et juin (lots 3 et 5).
L’utilisation de l’effet bélier a permis une augmentation de près de 10% du nombre d’agneaux nés en deuxième année, ce qui confirme la réponse favorable de la race Taadmit à l’effet mâle par simple isolement des béliers (Benyounes et al 2011, Benyounes et al 2013) (Chemmam et al 2014).
En troisième année, l’induction des chaleurs par voie hormonale a permis une augmentation de plus de 22% du nombre d’agneaux nés et un étalement des agnelages sur une période de moins de 2 mois.
Les rendements à l’agnelage mesurés par la taille et le poids de la portée à la naissance et à 90 jours (âge moyen au sevrage) laissent apparaitre une différence significative entre les lots luttés au printemps (3 et 4) par rapport aux autres lots, ce qui démontre l’effet de la saison sur l’activité sexuelle des brebis suivies (Kerfal et al 2005).
Tableau 3. Variation de la taille et des poids vifs des portées à la naissance et à 90 jours d’âge |
||||||
lot 1 |
lot 2 |
lot 3 |
lot 4 |
lot 5 |
||
Effectif (n) |
65 |
35 |
30 |
39 |
26 |
|
Taille de la portée à la naissance |
0,98a |
1,17a |
0,77b |
1,61a,b |
1,11a |
|
Taille de la portée à 90 jours |
0,83a |
1,08a |
0,66b |
1,49a,b |
1,06a |
|
Nais.multiples % |
30 % |
47 % |
10 % |
52 % |
38 % |
|
Poids de la portée |
Poids moyen |
3,16 ± 0,35 |
3,27 ± 0,37 |
3,35 ± 0,28 |
3,28 ± 0,4 |
3,15 ± 0,3 |
Poids des mâles |
3,33 ± 0,38 |
3,44 ± 0,39 |
3,5 ± 0,32 |
3,53 ±0,37 |
3,25 ± 0,36 |
|
Poids des femelles |
3,0 ± 0,25 |
3,13 ± 0,27 |
3,20 ± 0,15 |
3,2 ± 0,38 |
3,0 ± 0,18 |
|
Poids de la portée |
Poids moyen |
18,5± 1,9 |
19,0 ± 2,1 |
19,4 ± 1,6 |
19,0 ± 2,2 |
18,2±1,8 |
Poids des mâles |
19,3 ± 2,2 |
19,9 ±2,3 |
20,4 ± 1,9 |
19,5 ±2,2 |
18,8±2,1 |
|
Poids des femelles |
17,7 ± 1,1 |
18,2 ±1,6 |
18,6±0,8 |
18,6 ±2,2 |
17,6 ± 1,1 |
|
SS = saison sexuelle ; CS = contre-saison. Lot 1 lutte libre, lots 2 et 3effet bélier, lots 4 et 5 induction hormonale des chaleurs. Les lettres différentes sur une même ligne (a et b)indiquent une différence significative entres les moyennes à p <0,05 |
La taille de portée à la naissance la plus faible est de 0,77 agneaux du lot 3 (lutte de printemps) ainsi que le lot 1 dont les brebis ont été en lutte libre durant une longue période de plus de quatre mois. Les résultats à l’agnelage les plus élevés ont par contre été enregistrés par le lot 4 et à un degré moindre par le lot 2 justifiant une certaine efficacité du traitement des brebis par la méthode hormonale mais surtout l’importance de la séparation des béliers qui reste une méthode simple (Benyounes et al 2013, Chemmam et al 2014).
Les poids à la naissance enregistrés durant les trois années de suivi ont varié de 2,3 à 3,9 kg au maximum. Les poids moyens enregistrés ont été proches des résultats rapportés par Kerfal et al (2005) chez les agneaux de race D’man au Maroc, Benyounes et al (2013) ou Chemmam et al (2014) chez la race Ouled Djellal, mais nettement inférieurs aux résultats rapportés par Djellal et al (2018).
Le mode de reproduction ne semble avoir eu aucun effet significatif sur le poids des agneaux à la naissance. L’effet de la saison d’agnelage par contre a été très significatif (p < 0.01) sur le poids et la croissance des agneaux et à un degré moindre la durée de la période d’agnelage (p < 0,05) (Kerfal et al 2005, Djellal et al 2018). L’effet du sexe a été constaté ; ainsi les poids des mâles à la naissance et à 90 jours ont été significativement supérieurs à ceux des femelles, résultats confirmés chez la race D’man au Maroc par Kerfal et al (2005), Dekhili (2003), Dekhili et Aggoun (2007) ou Chemmam et al (2014) pour la race Ouled Djellal.
La fertilité a varié de 77 à 100 % et les taux de prolificité entre 103 % et 180 %. Les performances des lots de brebis luttées en période de saison sexuelle (septembre à décembre) ont été dans leur ensemble similaires et en accord avec ceux rapportés par d’autres auteurs (Mamou 1986, Dekhili et Aggoun 2007, Lamrani 2008, Lamrani et al 2008).
Figure 1.
Variation des performances de fertilité et de prolificité Lot 1SS lutte libre, lots 2SS et 3CS effet bélier, lots 4SS et 5CS induction hormonale des chaleurs. SS = saison sexuelle ; CS = contre-saison |
Les résultats observés sont la conséquence du comportement et de la réaction physiologiques développés par ce type de race, sous l’influence de la saison de lutte et de l’effet de traitement (effet bélier et traitement hormonal) auxquels les brebis ont été soumises.
La reprise de l’activité sexuelle en période à faible cyclicité a par contre été plus modérée, principalement dans le cas du lot 3, malgré l’utilisation de l’effet bélier. La réponse des brebis soumises à la lutte en contre saison s’explique par l’effet race issue d’un croisement entre les races Ouled Djellal et Mérinos. Ainsi la présence du sang Mérinos est sans doute à l’origine de ce comportement (Benyounes et Lamrani 2013). En effet, la race Mérinos est caractérisée par un anœstrus saisonnier plus profond, une reprise retardée de son activité sexuelle et un taux d’ovulation limité si elle est mise à la reproduction pendant le printemps (Cognié et al 1988, Benyounes et Lamrani 2013).
Tableau 4. Effet du mode de reproduction sur la variation des performances et de la productivité numérique du troupeau |
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lot 1 |
lot 2 |
lot 3 |
lot 4 |
lot 5 |
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Effectif (n) |
65 |
35 |
30 |
39 |
26 |
|
Fertilité |
0,90a |
0,94a |
0,77a |
1,00a |
0,85a |
|
Prolificité |
1,03a |
1,28b |
1,09a |
1,80a,b |
1,52b |
|
Taux de productivité numérique |
0,83a |
1,08a |
0,66b |
1,49c |
1,00a |
|
Les lettres différentes sur une même ligne (a et b) indiquent une différence significative entres les moyennes à p <0,05 |
Le taux de productivité numérique confirme la convergence des résultats de fertilité et de prolificité ; ainsi les lots de brebis luttées en période de saison (2 et 4) ont présenté des taux supérieurs à 100 %. La productivité numérique reste tributaire de la mortalité des agneaux jusqu’au sevrage, en fonction des conditions d’élevage et de la capacité d’allaitement des brebis (Dekhili 2002, Rekik et al 2005, Benyounes et al 2013, Djellal et al 2018). Il a été observé que la race Taadmit a répondu favorablement au traitement principalement en saison d’activité sexuelle, ce qui est confirmé par l’importance du taux de conception.
L’analyse de la variance nous permet d’observer que le mode de reproduction n’a eu aucun effet significatif sur la fertilité des brebis contrairement à la prolificité et à un degré moindre l’effet sur la productivité numérique (Tableau 4).
Les auteurs tiennent à exprimer leur reconnaissance et leurs vifs remerciements à l’ensemble de l’encadrement et du personnel de la station expérimentale de l’INRAA de H’Madna.
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